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vendredi 28 février 2025

Université de printemps : Arts et médias en transition(s)

 L’Université de printemps Arts et médias en transition. Futurs écoresponsables, de la formation à la recherche se déroule dans un contexte européen et national particulier, marqué par de multiples appels à enclencher une transformation de l’enseignement supérieur face aux enjeux socio-écologiques. En France, la formation à la transition écologique est désormais une mission des formations et de la recherche. 

Après une première édition de cette manifestation, en 2023, consacrée à la question de la pédagogie, les 11 et 12 mars 2025, se déroulera une nouvelle édition, printanière, visant à mettre en évidence la question de la recherche.

Ainsi, l’École des Arts de la Sorbonne (Paris
1 Panthéon-Sorbonne) et l’UFR des Arts et Médias (Sorbonne Nouvelle), sous l’égide de Sorbonne Alliance, poursuivent cette exploration de la transformation des arts et de la création au prisme de la transition écologique. Plus particulièrement, cette seconde édition placera le curseur sur l’idée de des-anthropocentrer la recherche.

Il s’agit d’envisager cette action non pas comme
un simple ajout, mais comme une invitation à repenser les contenus et les méthodes de recherche, les pratiques de création et leur réflexion et -pour la première fois- la parole sera aussi donné aux doctorants qui contribuent activement à cette transformation.

Les tables rondes, débats, conférences, séminaire, projections, performances s’orienteront autour de trois thèmes :

  • Recherches en cours : focus sur les projets de recherche impliquant la transition écologique
  • Comment et pourquoi mener une recherche éco-responsable
  • Désanthropocentrer la recherche : regarder autrement ? 

LIEN: https://www.pantheonsorbonne.fr/evenements/universite-printemps-arts-et-medias-en-transition-s

Lieu :
Mardi 11 mars
9 h 30 - Maison de la recherche - Université Sorbonne Nouvelle, 4 rue des Irlandais, 75005 Paris
Salle Athéna
19 h - Cinéma Saint André des Arts, 30, rue Saint-André des Arts, 75006 Paris

Mercredi 12 mars
Inscriptions auprès de dirufr04@univ-paris1.fr (avant le 10 mars)
Université Paris 1 Panthéon Sorbonne 12 Place du Panthéon, 75005 Paris
Salle 6, 2e étage 

Nous espérons vous voir nombreux, pour que nos discussions permettent de co-construire les modalités de cette recherche « En transition ».

Teresa Castro, Kira Kitsopanidou, Raphaëlle Moine, Antonella Tufano





 
j'interviendrais le mardi 12 mars  

 15 h 30 - 17 h : Table ronde « Design en transition(s) ou une écologie radicale du design »

Modératrice s : Antonella Tufano, professeure en design, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, EAS et Sophie Pène, professeure émérite en sciences de la communication, chercheure au DICEN-CNAM.

Avec : Michela Deni, Professeure en sémiotique du design et responsable de l’équipe de recherche Projekt (Université de Nîmes); Catherine Geel, historienne du design, professeure à l’ENSAD de Nancy et éditrice (éditions T&P); Noémie Sauve, artiste, chercheure, Professeure à TALM (École supérieure d’art et de design de Tours-Angers-Le Man).

( Epop& ) X Clinamen /// ballade Bergère

 

programme en ligne ici

site de l'INSTITUT DES FUTURS SOUHIATABLES ICI

"Il était une bergère"

samedi 15 mars 2025

Promenade apprenante et transhumante avec Julie-Lou Dubreuilh, bergère urbaine et Noémie Sauve, artgricultrice de l’association Clinamen En Seine-Saint-Denis, il est une bergère à la langue bien pendue, qui, non contente de prendre soin nuit et jour d’un troupeau de 60 moutons bleus du Maine, a plein d’idées à partager sur la dynamisation des territoires urbains par la promotion des pratiques paysannes.
Parc Georges Valbon (La Courneuve, 93) - 10h

Institut +
souhaitables

mercredi 26 février 2025

LANCEMENT Édition "créateur•ices urgence climat / Fondation Thalie / Manuella éditions

Dans la continuité de l'initiative de Nathalie Guiot, Fondation Thalie, et de la série "Créateur•ices face à l'urgence climatique" à laquelle j'avais participé, invitée par Stefano Vendramin avec le géologue Benjamin Van Wik De Vries pour parler de notre résidence Art&Science THE POSSIBLE ISLAND sur l'île de Vulcano (Îles Éoliennes), résidence pilotée par deux des fondateur•ices Cécile Genovese et Léo Marin.  Je suis heureuse de vous inviter au lancement de la nouvelle édition, extraits de ces entretiens avec plusieurs créateur•ices et scientifiques, spécialistes qui œuvrent au sein de divers enjeux écologiques.

Nouvelle publication, Créateurs Urgence Climat, éditée par la fondation en partenariat avec @manuella_editions, un livre qui rassemble des échanges entre artistes, designer-euses, chercheur-euses et scientifiques pour concevoir et produire autrement face à l’épuisement des ressources.

Cet ouvrage reflète les métamorphoses en cours, à la fois sur le plan intellectuel et pratique à travers des conversations qui invitent au passage à l’action et à de nouvelles façons d’habiter le monde.

« L’art qu’il soit contemporain ou pas, transforme le monde, rend visible l’invisible. Historiquement, nous sommes entouré.es de pratiques artistiques qui ont contribué à façonner nos villes, nos imaginaires. » Eva Jospin

Conversations extraites des conférences à @ecoleartsdecoparis de 2021 à 2023 et podcasts disponibles sur le site et Spotify

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retrouvez ici la vidéo de l'entretien ainsi que le podcast.

Le lien vers la librairire Yvon Lambert

Merci à Nathalie Guiot et à Manuella Editions




Entre fertilité et toxicité, histoires d'influences d'un volcan des Îles Éoliennes

La série Parole de Créateur•ices face à l’urgence écologique propose des rencontres entre artistes, penseurs et scientifiques pour créer de nouveaux récits, sensibiliser et agir face au dérèglement climatique, par la voie des artistes.





LA MER MÉDITERRANÉE

La Sicile est située au centre de la mer Méditerranée. Les îles Éoliennes, au nord de la Sicile, sont nées là où la plaque africaine chevauche la plaque eurasienne. Cet archipel est l’un des derniers vestiges d’un écosystème marin en voie de disparition, un échantillon de la situation Méditerranéenne, sismique et biologique.


 

L’ÎLE

Vulcano est une île de 20 km2 située à 40 km au nord de la Sicile, environ 700 personnes y vivent à l’année. L’origine de son nom découle de l’ancien dieu Vulcain. Née il y a environ 125 000 ans, l’île actuelle est le résultat d’une succession d’événements volcaniques qui ont marqué l’histoire de la géologie. Vulcano a aussi été le théâtre du premier film sous-marin de l’histoire du cinéma, présenté au Festival de Cannes en 1947 : «Chasseurs sous-marins », produit par Panaria Film. Aujourd’hui, des institutions comme le INGV (Istituto Nazionale di Geologia e Vulcanologia ) et l’ AIPF ( Aeolian Island Preservation Fund), se sont engagées à prendre soin et à préserver cette réserve naturelle inscrite au patrimoine de l’Unesco

 





 

Pour la résidence The Possible Island, je prenais prétexte de l’influence du volcan sur l’agriculture et sur la biodiversité marine pour avancer dans ce monument intimidant qu’est Vulcano, une des îles volcaniques qui ont rendu possible la vie terrestre. Comment le volcan incarne « création » et « destruction », « fertilité » et « toxicité », et comment il devient un refuge unique, particulier? (…) En trame de fond, l’eau, le feu.

Deux protagonistes permanents qui ne se font jamais oublier. J’ai ensuite pu accompagner des scientifiques géologues et vulcanologues, étudiants ou professionnels du Laboratoire Magmas et Volcans de Clermont Ferrand afin de découvrir des protocoles d’observations propres à l’approche d’un volcan unique. Mais aussi ce que ce type de connaissances et de savoir-faire apporte dans des enjeux contemporains sociaux, économiques et politiques. (…) Voir des lignes, des sols, des couleurs différemment et connecter « esthétique » et « information ». Une dynamique spontanée forte figée

dans un paysage, qui semble immobilisé et calme. Pourtant « les montagnes grandissent encore ». 

 

Terra Vulcanica

un projet video de Noémie Sauve 

réalisé par Noémie Sauve, Giovanni Federico e Peppe Lotta 
 

TERRA VULCANICA: carnet d'enquête d'une semaine de l'artiste Noémie Sauve à son arrivée à Vulcano pendant sa résidence "The Possible Island », ce film est une amorce de réflexion artistique imprégnée de documentation vivante sur l'influence du volcan sur l'agriculture de l'île. Entre fertilité abondante et toxicité apparente, les images opposées se superposent pourtant dans un même paysage. Cette unité forte est typique de l'insularité et des sites géologiques marqués. Ces caractères sont concentrés ici dans des quotidiens qui, bien qu'empreints de la mémoire vivante d'une activité latente et permanente dans les îles éoliennes se trouvent tranquillisés par une qualité de vie envoutante. Les geysers sous-marins et les fumerolles guettent, romantiquement, un désastre qui pour l'instant, met les bombes volcaniques de côté pour labourer des saveurs extraordinaires et résistantes.

The Possibile Island est une association italo-française qui du 6 au 30 Juin 2021 a organisé sa première résidence d’art et science sur l'île de Vulcano, dans les îles éoliennes en Sicile. Nous considérons l'île comme un prototype, un territoire idéal d'expérimentation, un continent à l'échelle de l'individu. Ce projet culturel est né du désir d'une rencontre entre artistes, et scientifiques pour une valorisation du patrimoine artistique et naturel de tous les territoires insulaires, sans en oublier les enjeux écologiques.

 

Avec le patronage de de la commission nationale italienne pour l’UNESCO et le support du programme de geoheritage pour la résilience Unesco IGCP 692 ainsi que de l’Agence Nationale de la Recherche ANR DIRE et de l’Université de Clermont Ferrand Auvergne, avec la galerie d’art contemporain Eric Mouchet à Paris, en partenariat avec les institutions locales comme l’Institut National de Géologie et de Vulcanologie de Palerme, le Centre Station Zoologique Anton Dohrn (SZN) de Messine et ses biologistes marins, l’association Vulcaniamo et la commune de Lipari, une trentaine d’artistes et scientifiques internationaux ont collaboré pour une programmation à la découverte de la nature et à la rencontre de la population. 

The Possible Island

 








 

article de Loic Mangin // revue "Pour la Science" février 2025







 lien vers l'article en ligne ICI

merci à Loic Mangin

vendredi 3 janvier 2025

RÉSIDENCE DE RECHERCHE ET D'EXPÉRIMENTATION ART & SCIENCE /// LE CREDAC ET LA DAC DE LA VILLE D'IVRY

 

Le duo composé de Noémie Sauve — artiste et professeure — et Meredith Root-Bernstein — écologue, ethnobiologiste et chercheuse CNRS au Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) — a été sélectionné pour la session 2024-25 de la résidence de recherche et d’expérimentation du Crédac. Cette session dédiée à la rencontre entre l’art et les sciences, est menée en collaboration avec la Direction des Affaires Culturelles de la Ville d’Ivry.

Noémie Sauve et Meredith Root-Bernstein s’intéressent à l’origine de la vie en adoptant une nouvelle lecture des outils et des protocoles scientifiques habituels (tableau des éléments, distribution hiérarchique des études biologiques, chimiques et physiques, attribution de caractères volontaires des organismes…). Depuis la création de la Terre jusqu’aux observations des milieux qui nous entourent, leur projet intitulé L’activation du monde propose de donner naissance à des visions expérimentales à travers le dessin et la sculpture, en croisant les regards artistique et scientifique. Le projet vise à mettre en lumière le dynamisme, l’instabilité, et les libertés des formes prises par la vie lorsqu’elle s’active, loin des représentations statiques.

Noémie Sauve et Meredith Root-Bernstein mettent en place une circulation des savoirs et des expériences, inspirés de leurs terrains actuels et précédents (biologie des populations et écologie, sciences du végétal, biodiversité des récifs coralliens, influence chimique des
activités volcaniques, géomagnétisme…). Avec la participation de quelques invité·e·s d’horizons très variés, s’intéressant tout particulièrement à ce qui échappe à la classification, elles envisagent de donner forme à un projet qui restitue la complexité du monde et qui ne limite pas l’écologie aux terrains auxquels on l’assigne.

Au fil de nombreuses collaborations avec des scientifiques, Noémie Sauve a pu constater le rôle décisif que joue, pour la méthode scientifique, la séparation entre la matière qui sert de support à une information et la substance qui l’active ; entre la matière et le processus. Son engagement sur les sujets d’écologie globale l’a amenée à s’intéresser aux rapports entre
la conservation et le vivant, entre le capital conservé dans un répertoire, un index, et son activation, sa mise en circulation.

Meredith Root Bernstein s’intéresse à cette même dichotomie, depuis le point de vue situé des disciplines de conservation de la nature, où ces deux dimensions peuvent parfois être présentées comme des antagonistes.

Réunies grâce à leur projet de résidence au sein de l’atelier de recherche du Crédac, elles vont mener un dialogue autour des recherches scientifiques de Meredith Root-Bernstein sur l’évolution, notamment en suivant la piste du ribosome — la molécule qui active l’ADN — et ses implications pour toute les échelles du vivant, jusqu’à l’écologie. Un échange fécond peut alors se développer, marqué par de multiples résonances en matière de méthode, avec un primat accordé à l’observation.



 

édition Tara /// 20 ans FONDATION TARA OCÉAN

 



TARA, LES ARTISTES RÉVÈLENT L’OCÉAN

Publication de la collection CIVIS MARITIMUS / The eyes publishing X Tara

Ce livre, réalisé en collaboration avec la Fondation Tara Océan est une rétrospective des artistes embarqués à bord de la goélette Tara depuis 20 ans. Il s’agit d’une occasion unique de mettre en lumière l’Océan, sa biodiversité encore méconnue, son rôle dans la machine climatique et les pollutions qui l’impactent aujourd’hui, par le prisme de l’art.

Textes : José-Manuel Gonçalvès (Directeur du 104, Paris), Jean de Loisy pour l’entretien avec Agnès Troublé (dite agnès b.) et Etienne Bourgois et Wilfried N’Sondé.












 

TARA X 104

 


Tara, l’art et la science pour révéler l’Océan

16.11.2024 - 02.03.2025

À travers le regard de plus de 40 artistes, la Fondation Tara Océan et le CENTQUATRE-PARIS explorent les enjeux environnementaux, sociétaux et poétiques liés à l’Océan, au cœur d’une exposition qui dévoile la richesse et la fragilité du plus vaste écosystème sur Terre.

Cette exposition rétrospective des artistes embarqués à bord de la goélette Tara depuis 20 ans est une occasion unique de mettre en lumière l’Océan, sa biodiversité encore méconnue, son rôle dans la machine climatique et les pollutions qui l’impactent aujourd’hui, par le prisme de l’art.

Déclinée autour de quatre grandes thématiques : le vivant, les pollutions, les paysages et le sensible, cette exposition accorde également une place particulière à la découverte des carnets de voyage dans toutes leurs formes, précieux témoignages des expéditions Tara.

L'exposition La Grande expédition invite au voyage et à la prise de conscience en mettant en avant les créations – peintures, sculptures, photographies, installations audiovisuelles et sonores... – réalisées dans le cadre de ces résidences artistiques à bord de la goélette.

© Quentin Chevrier

avec les artistes : François Aurat • Yann Bagot • Antoine Bertin • Samuel Bollendorff • Christian Cailleaux • Lorraine Féline • Benjamin Flao • Nicolas Floc’h • Cécile Fouillade – Siqou • Ellie Ga • Ensaders • Giulia Grossmann • Elsa Guillaume • Mara G. Haseltine • Rémi Hamoir • Pierre Huyghe • Katia Kameli • Irene Kopelman • Manon Lanjouère • Francis Latreille • Yoann Lelong • Ariane Michel • Leslie Moquin • Aurore de la Morinerie • Wilfried N’Sondé • Malik Nejmi • Claire Nicolet • Maki Ohkojima • François Olislæger • Arianna Pace • Renata Padovan • Lola Reboud • Emmanuel Régent • Christian Revest • Sebastião Salgado • Christian Sardet et les Macronautes • Noémie Sauve • Robertina Šebjanic • Carly Steinbrunn • Lara Tabet • Xavier Veilhan • Laure Winants

AUTO-RÉSIDENCE EN ARCHÉOMAGNÉTISME- AVRIL 2024-2026

J'ai découvert l'archéomagnétisme aux Musées du Mans avec lesquels je mène un ARC (Atelier de recherche et création) pour les étudiant•e•s de l'école supérieure d'art et de design TALM Le Mans où j'enseigne le dessin et les matériaux. Cet ARC intitulé MUSE MUSÉE permet en un semestre de découvrir à la fois les collections, leurs enjeux passés et contemporains mais aussi tous les métiers internes et périphériques et les articulations autour des différents projets depuis la maintenance jusqu'aux publics.

C'est une exposition sur les techniques de datation qui avaient été utilisées pour dater l'enceinte Romaine qui me fascina et me fit penser que l'imaginaire convoqué par ces techniques scientifiques de datation avaient un potentiel de mises en rapports écologiques tacites immense.

J'ai ensuite écrit un premier projet plus global qui englobe à la fois les questions autour de la date comme identité, de cristallisation et stabilisation scientifique et aussi de lien entre le geste humain et les plus grandes forces physiques du globe.

J'ai alors contacté Yves Gallet (Equipe de Paléomagnétisme, IPGP Université Paris Cité) et Agnès Genevey (LAMS, Sorbonne Université) afin de leur demander de m'apprendre, me faire partager leurs recherches. Je les remercie pour tout ce qu'ils me permettent de vivre depuis maintenant 10 mois.

En 10 mois j'ai pu suivre leurs manipulations d'échantillons (essentiellement de poterie et de four) en vue de l'amélioration et de la construction des courbes de référence de variation séculaire de la direction (inclinaison, déclinaison) et de l'intensité des informations archéomagnétiques à L'Institut de Physique du Globe de Paris (IPGP) et au Laboratoire d'Archéologie Moléculaire et Structurale (LAMS) mais aussi à l'Observatoire Magnétique National de l'IPGP de Charbon-la-forêt dans la forêt domaniale d'Orléans. 

J'ai pu aussi les suivre sur le terrain en les rejoignant sur des prélèvements de sole de four d'antiquité tardive sur le site exceptionnellement riche de Las Cravieros à Fanjeaux dans l'Aude. J'ai pu découvrir les techniques et les métiers d'archéologie complémentaires à l'élaboration de cette courbe comme la céramologie ou les autres techniques de datation convoquées par les chantiers de l'INRAP dont le 8è séminaire scientifique et technique sur le thème des datation absolues en archéologie se tenait en décembre 2024.

Voici quelques illustrations du chantier en cours sur ce projet à 1/3 du parcours de résidence que je me suis fixé.